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Photo du rédacteurRegroupement Naissances Respectées

Je refusais toujours d’être provoquée jusqu’à ce que l’infirmière me réponde rudement

J’ai accouché à l’hôpital 06.1. Déjà j’avais demandé un accouchement dans l’eau, mais mon obstétricienne m’a recommandé de ne pas le faire, car c’était mon premier enfant et que je risquais des complications. J’ai donc accepté sans le vouloir vraiment. Je prônais un accouchement naturel sans péridurale ni pitocin. J’ai été provoquée à 41,2 semaines. J’ai fait tout mon possible pour faire descendre mon bébé sans pitocin (ballon dans la douche chaude, tire-lait manuel, marche dans les corridors), mais le travail n’avançait pas. Je refusais toujours d’être provoquée jusqu’à ce que l’infirmière me dise rudement que j’étais ici pour accoucher et que le pitocin accélérera le processus. Ensuite, ils m’ont induit et les contractions étaient très fortes. On m’a conseillé la péridurale après tout cela, car je devais reprendre des forces (24h depuis le début de mon séjour à l’hôpital). Je l’ai prise, j’avoue que ça m’a beaucoup détendue, j’ai même dormi, mais ma raison principale contre la péridurale était de ne pas médicamenter mon bébé. Mon obstétricienne est venue très tôt dans tout ce processus peut être 3 h après mon arrivée et est repartie, car je n’étais aucunement dilatée. Tout le long de ma grossesse, elle annulait et retardait les rendez-vous de plusieurs heures, car elle faisait accoucher ses clientes. Je me suis dit qu’elle allait être là pour moi quand sera venu mon temps. Elle est très bonne selon les évaluations. Mais au moment de mon accouchement, elle n’y était pas et j’ai dû accoucher avec un homme étudiant. Heureusement, il a bien fait ça, mais je voulais vraiment mon obstétricienne que j’avais personnellement choisie et en qui j’avais confiance.

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