En 2013, j’étais enceinte de 16 semaines et demie lorsqu’on m’a provoqué un accouchement pour terminer ma grossesse. Je suis venue à deux reprises à un hôpital pour me plaindre de douleur et de saignement. On m’a laissé à 2 reprises moisir des heures sur les bancs de l’urgence sans jamais m’adresser à un spécialiste de néonatalité. À ma deuxième visite après 10 heures d’attente on m’annonçait qu’il est trop tard et qu’il n’y avait rien à faire. J’ai perdu mon fils le 10 février 2013. En 2015, je suis presque à terme et j’ai des contractions. Je me présente à l’étage des naissances d’un hôpital et on m’oblige à me dévêtir devant un résident sans quoi on me refuse l’assistance nécessaire. Je m’y soumets malgré moi, car je ne veux pas vivre un deuxième épisode de fausse couche. En octobre 2017, le jour de mon opération pour kyste, fibromes et endométriose, la gynécologue lors de rencontres avant la chirurgie m’a fait signer un protocole de chirurgie pour salpingo ovariectomie pour ovaire gauche comme le kyste était logé dessus au cas où elle devrait l’enlever. Le jour de l’opération lorsque je pose des questions lors de la chirurgie, le médecin m’informe de manière fâchée avant même de m’ouvrir pour voir les dommages liés à l’endométriose qu’il devra enlever tout l’utérus et que c’est qui avait été discuté et que c’est moi qui a mal compris. Il y a un génocide auprès des personnes noires et on nous refuse l’écoute et l’aide nécessaire. Je ne peux plus avoir d’enfants et j’ai eu un service médiocre par un gynécologue qui n’en a rien eu à faire de moi. Même après l’opération il faut prendre des pilules dont les effets secondaires sont néfastes (Visanne). Le gynéco fait des suivis pour les prescrire, mais ne se préoccupe aucunement du bien-être de ses patientes.
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